mardi 22 janvier 2008

L'Innocence de Frédéric Nietzsche : La vie du devenir






En exil à la cour du roi de Prusse, amateur de bons vins et de bonne chère, vivant avec une femme légère qu'il avait apportée de France, sans pour autant négliger les avantages des Prusiennes qui s'offraient, toujours délirant, rempli de talent pour les facéties municipales, Le Michel succomba à une indigestion, mort matérialiste s'il en est. La correspondande de Sollers nous le montre également, face cachée qui dénonce l'authentique libertin, comme un personnage capable des plus grandes tristesses et des désespoirs les plus profonds.
Aucun gai savoir n'est libre d'une conception tragique du réel.

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