samedi 9 mai 2009

Sollers, je l'aimais sans soucis


J'ai quand même une pensée émue pour cet homme élégant et brillant qui est en train de tripoter mon avenir entre ses mains fines (l'édite ? l'édite pas ?), le jean, c'est un peu raide il faut l'avouer.

Ah... que de soucis, que de soucis.

Aucun commentaire: