samedi 16 juin 2007

Paul Nizon fume



J'avais un peu peur, je l'avoue, de lui parler et surtout de l'embêter avec des questions qui pour lui ne se posent pas. D'emblée, j'ai été surpris par son sourire, sa bonhomie. A son arrivée dans la " Véranda ", il a volontiers accepté un verre de bordeaux, puis il a allumé une cigarette (j'aime voir un vieil homme fumer, lentement, en fermant les yeux, sans se sentir coupable). Il s'est montré disponible, curieux, calme et chaleureux à l'égard de chacun : maquilleuse, techniciens. Ni inquiet ni ennuyé.

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