lundi 31 mars 2008

Loly fume à l'infini




Simone de Beauvoir est déjà une poupée oldschool auprès de Loly, autre robot sexuel de la firme First Androids, basée à Nuremberg. Défiez-vous de son petit 1,27 mètre : Loly est plus harassante que la machine sur laquelle Charlot Sartre s’échine dans « les temps modernes ». Innombrables sont ses options, de sa tête interchangeable au diamètre de ses aréoles. Elle coûte 7 460 euros. Vu son prix et l'évolution du pouvoir d'achat, on peut aussi se contenter d'un simple torso (tronc humain sexué et motorisé). Dans sa version intégrale, Loly respire par le nez et, comble de transgression, peut exhaler la fumée d'une cigarette. Elle s'enorgueillit d'un système de fellation au « mouvement variable à l'infini » - c'est bien le moins. Son vagin a un système de « lubrification par capteur ». Ses yeux sont mobiles et elle vous voit grâce à un système de logiciels de reconnaissance et de mémorisation de formes, assurent ses créateurs. First Androids propose aussi un robot sexuel masculin. Il s'appelle Naxollers et mesure 1,92 mètre. « Ses bourses sont remplies d'un liquide dont la texture est proche de la semence, et l'élasticité de l'élastomère silicone permet un étirement de 200%. » Hélas ! les hommes ne sont plus ce qu'ils étaient : Naxollers est aussi incapable de lire une carte routière que Loly de faire la cuisine, mais ils fument.

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