samedi 29 mars 2008

Dédé Glucksmann et le Wei Wu Wei





Dans la voie du "poignard de Wu hao", un KGB mao fabrique une "scission".

Cette thèse, très vaguement proche de certaines réalités a été probablement soufflée aux "journalistes" par leurs amis R.G, ou des gens comme André Glucksmann, qui s'était rapprochés de "La Cause du Peuple" sous les sunlights de la "gloire", au moment du combat, prestigieux, des militants emprisonnés luttant pour le statut politique. Certains (véritables) intellectuels, artistes et créateurs se sont alors réellement engagés (Sartre, jusque sur son tonneau de Billancourt, Jean-Luc Godard, Jean Cardonnel, Jane Fonda, et surtout le gaullo-maoiste chrétien Maurice Clavel, liste non limitative... et pas sollers). Ceux-là ont pris de vrais risques. Ils ont contribué à briser les cercles de la calomnie et de la haine autour de nous, et, plus généralement, des usines.Mais la plupart des autres rechignent à l'idée d'aller se "salir les mains" et se "prolétariser", à la base... Alors, pour eux, l'apparition d'une sorte de "KGB mao", ou plutôt d'une force obscure et redoutable dans la tradition du "poignard de Wu hao" (Zhou Enlaï), en charge de contre-manipulations sophistiquées et de l'éradication d'infiltrés, commence à faire sérieux. Il est temps de mettre les voiles. Ciao Glucksmann, bon vent...
Même pas besoin de te virer de la véranda, Dédé : c'est l' "agir par le non agir", le "weï wu weï" du Taoisme, principe du bidet autovideur cher aux plombiers que nous sommes.


Aucun commentaire: