lundi 16 mai 2011

"La débâcle" de DSK



Non, jamais il n'irait chez les filles; il se marierait, il demeurerait en compagnie de la seule femme qu'il aimait, il la choierait et en serait choyé, il recevrait des amis : tel était son rêve, et dans chaque femme pour laquelle il s'enflammait, il voyait poindre la mère. C'est pourquoi il n'adorait que celles qui étaient tendres et il se sentait honoré de s'en voir bien accueilli. Les coquettes, les rieuses, les femmes empressées lui faisaient peur. Elles lui faisaient l'effet de chercher une proie et de vouloir le dévorer (...)

Jean Dominique était naturellement timide. Il ne voulait pas se montrer déshabillé, et aux bains il mettait volontiers un caleçon. Une servante (tjänstekvinna) qui pendant son sommeil lui avait découvert le corps et qui fut dénoncée par ses frères, reçut de lui une raclée le lendemain matin.


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