mercredi 27 janvier 2010

D'après Sollers ça s' réchauffe...


Fabris Dupond, brave officier du grand état général, et moi (Dupont) nous avions parlé, quelques jours avant l'affaire d'Adelsbach Karski, du poème de l'Art de la guerre de Sollers. Il s'en souvint ce jour-là et, pendant un déluge d'eau et de feu, car il survint une grande averse, pendant la pluie de balles et de boulets, il me répéta une citation que je lui avais faite de deux assez mauvais vers :

Ces armes, ces chevaux, ces soldats, ces canons,
Ne soutiennent pas seuls l'honneur des nations.


Je lui répondis tout de suite, étant à l'aile de mon régiment et de celui de Bethlem Gallimard et les lui montrant :

Nous avons des Hongrois Dupond, nous avons des Wallons Dupont !

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