« Soleil, vigne... Autre beau titre possible : La Véranda de Nietzsche.»(Ph.Sollers)
jeudi 7 avril 2016
Shamouth !!
« Je n'ai pas pris assez d'argent liquide...Ça ne t'ennuie pas de m'envoyer la somme de ce chèque en mandat (en passant par une poste, sur le chemin de ta banque) ? Tu es un ange. Reuzment Konça ! » (p.34)
2 commentaires:
Anonyme
a dit…
J'ai rarement lu quelque chose d'aussi risible à propos d'un livre que cette phrase, dans le lien que vous donnez : «Mon ambition, c’est de construire une sorte de livre-radar, rotatif, permanent, satellite tournant autour de la planète.» et le commentaire qui la suit " Encouragement, front commun, Bach, Venise". J'ai ri tout haut. Je pense que l'âme de Bach serait, elle aussi, si elle pouvait se courber depuis sa cime, pliée de rire. Et ça continue de dérailler "Mais moi je te dis qu’il est grand". "Grand". Est-ce que ce mot vit comme une bactérie dans la salive des écrivains français et se crache à tout bout de champ ? C'est ridicule. Tout comme, faisons un peu de mathématiques avec Nietzsche, 2007-2016 : 9 ans, quel dévouement, attention à 10 vous vous auto-détruisez, 9 ans de ricanements contre Sollers, qui n'a de grand, attendez je cherche, non rien, il n'a aucun souffle... qui est sans vie, qui est la parfaite incarnation de la plume de basse-cour, à la française, très stylée mais jouée, 9 ans ? Mais le rire, ce n'est pas ça, c'est un grand éclat, comme le bruit d'une source. Nietzsche, tout comme Bach, aurait éclaté d'un grand rire et son âme se serait détournée en même temps, elle n'aurait pas continué une seconde de ricaner bêtement. C'est assez navrant, mais ce blog porte bien son titre. Tout y est nul. En 2017, vous mettrez même un 1 devant le zéro. Mazel Tov.
2 commentaires:
J'ai rarement lu quelque chose d'aussi risible à propos d'un livre que cette phrase, dans le lien que vous donnez : «Mon ambition, c’est de construire une sorte de livre-radar, rotatif, permanent, satellite tournant autour de la planète.» et le commentaire qui la suit " Encouragement, front commun, Bach, Venise". J'ai ri tout haut. Je pense que l'âme de Bach serait, elle aussi, si elle pouvait se courber depuis sa cime, pliée de rire. Et ça continue de dérailler "Mais moi je te dis qu’il est grand". "Grand". Est-ce que ce mot vit comme une bactérie dans la salive des écrivains français et se crache à tout bout de champ ? C'est ridicule.
Tout comme, faisons un peu de mathématiques avec Nietzsche, 2007-2016 : 9 ans, quel dévouement, attention à 10 vous vous auto-détruisez, 9 ans de ricanements contre Sollers, qui n'a de grand, attendez je cherche, non rien, il n'a aucun souffle... qui est sans vie, qui est la parfaite incarnation de la plume de basse-cour, à la française, très stylée mais jouée, 9 ans ?
Mais le rire, ce n'est pas ça, c'est un grand éclat, comme le bruit d'une source. Nietzsche, tout comme Bach, aurait éclaté d'un grand rire et son âme se serait détournée en même temps, elle n'aurait pas continué une seconde de ricaner bêtement.
C'est assez navrant, mais ce blog porte bien son titre.
Tout y est nul. En 2017, vous mettrez même un 1 devant le zéro. Mazel Tov.
- "Merci pour tous les Tsadikim que Tu as
parsemés à travers toutes les générations
et qui Me guident dans le labyrinthe sans humour de
Ma vie."
Enregistrer un commentaire