vendredi 8 novembre 2013

Finkielkraut, enfin, connecté !




« Mon drame, c'est que je suis plus internationaliste que nationaliste dans une époque où chacun cache son idéologie internationale sous son nationalisme. La Bretagne ou l'Europe m'intéressent plus que la France : déformation de l'historien, car les mythes originaux ou terminaux sont aussi précaires que les mythes intermédiaires. Mais depuis longtemps je suis las du rabâchage nationaliste, de l'exclusivisme; ceci est français, allemand, ceci ne l'est pas. Assez.
Mais tout cela n'est qu'un prétexte pour mon détachement général. L'homme est las de l'homme, dit Nietzsche en parlant du nihilisme européen. »






1 commentaire:

Eddy Snowden a dit…

le 10/11/2013 à 16h14
Finkielkraut : “Je vais peut-être me mettre à internet”