jeudi 24 février 2011

Sollers fume oralement et buccalement : il est vacciné

Véranda, 14 février 2007.

D’après des études statistiques, il se pourrait que la pratique du sexe oral soit potentiellement plus cancérigène que la cigarette ou la boisson. A l’origine de cette étude, l’augmentation du nombre de cancer de la gorge chez des hommes jeunes. 

Une nouvelle qui fait parler d’elle. D’après l’étude menée par le docteur Maura Gillison, chercheuse spécialisée sur le cancer à l’université d’État de l’Ohio, la pratique du sexe buccal serait potentiellement plus cancérigène que fumer ou boire de l’alcool. Selon les résultats de l’étude statistique, les personnes ayant pratiqué fellations ou un cunnilingus à six (6) partenaires ou plus auraient 8,6 fois plus de chances de développer un cancer de la bouche ou de la gorge.

Les fumeurs, eux, auraient «seulement» trois (3) fois plus de chances d’avoir ce type de cancer comparé à des non-fumeurs, et les personnes buvant de l’alcool deux (2) fois plus à côté de ceux qui n’en consomment pas. « Ce qui est le plus fortement lié aux infections buccales […] est le nombre de partenaires que quelqu’un a eu dans sa vie, en particulier le nombre d’individus à qui ils ont pratiqué une forme de sexe oral, explique Maura Gillison au "Telegraph". Plus vous avez de partenaires, plus vous avez de chances d’avoir une infection orale.»


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