« Heureux les peintres et les écrivains qui ont séché la morose école et la barbante université, pour enrichir leurs connaissances dans le boudoir des pensées ! Heureux ceux qui, plus tard, retrouvent l'éclaircie de leurs soeurs (qui fument) dans la dévastation générale ! » (p.205.)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire